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Raper le chou fine­ment à la mandoline.

Dans un cul de poule mélan­ger le chou et le sel, puis pétrir pour faire suer le chou.
Le sel va faire sor­tir l’eau du chou, il faut avoir les mains mouillées.
C’est prêt quand lorsque l’on presse une poi­gnée de choux, du jus coule.

Dans le bocal propre, pas for­ce­ment sté­ri­li­sé, on ajoute une poi­gnée puis on presse bien, il ne faut aucune poche d’air.
Répé­ter l’o­pé­ra­tion en ajou­tant quelques baies de genièvres entre les couches.
Il faut que le chou soit sub­mer­gé dans sa propre saumure.
Ne pas rem­plir le bocal à fond car le volume aug­mente avec la fermentation.

Fer­mer le bocal en fai­sant atten­tion qu’il n’y ait pas de chou sur le bord et que l’é­las­tique soit bien propre.

On laisse dans un pla­card à tem­pé­ra­ture ambiante au moins 2 semaines, mais on peut le gar­der plu­sieurs années.
Pour savoir si c’est réus­si c’est simple, si ça a foi­ré l’o­deur en ouvrant sera épouvantable.

Cela peut se consom­mer froid en salade, et bien sûr cuit en choucroute.